Première ville au Chili ! Un petit port au porte du Torres del Paine. La ville en elle-même n’est pas d’un grand intérêt. La ville vit du tourisme et donc de sa proximité (relative hein, il y a 2h de route) avec le parc du Torres del Paine, ce qui rend son séjour cher. Et donc, il peut être necessaire de préparer sa venue à Puerto Natales.
Quand y aller ?
La grosse saison c’est l’été donc janvier à mars. Mais c’est donc la période où il y a le plus de monde. En été, le guide n’est pas obligatoire pour faire les gros trek et il est possible de camper dans le parc. A partir de mai et jusqu’ à novembre, le guide est obligatoire pour faire les gros trek, mais il y a quasi personne. On a l’impression d’être seul au monde.
Quel prix ?
Nous on a déboursé 110€ par personne pour la journée en mai donc ça a un coup. En général c’est 80€ pour un guide à la journée et l’entrée du parc coute 30€. Parlons 2 sec du ticket du parc. L’achat se fait uniquement sur internet. Nous on a pas réussi à payer par carte sur le site. Heureusement c’est possible de payer avec paypal. On vous conseil de les acheter en avance pour éviter le coup de stress, surtout qu’il n’y a pas de réseau à l’entrée.
Pour le séjour, on a pas choisi la chambre la moins chère. On a opté pour l’hostel Yagan House, la chambre était chouette mais au dessus de notre budget. Il y avait sûrement moyen de baisser le coup, cela reste tout de même plus cher que dans une autre ville même en Patagonie. Les restaurants sont aussi plus cher.
Un conseil resto ?
Parmi les restaurants testés, celui qui nous a le plus plus c’est El Taller cocina saludable, un restaurant végétalien. C’est une première pour moi et étonnant dans ces pays où le plat principal est souvent une excellente pièce de viande.
J’ai oublié de prendre des photos, mais ce qu’il faut retenir c’est que c’est très bon et généreux, que les gateaux sont très bon et que surtout c’est l’un des restaurants meilleurs rapport qualité prix de la ville. Bref on mange bien pour pas cher !
Autre conseil, un peu plus cher La Disqueria. Outre ses assiettes copieuses et délicieuses, le service est irréprochable. Le patron parle 4 langues dont français. On a aussi passé un bon moment dans ce restaurant.
Le plat préféré du patron, agneau à la portugaise
Un conseil bar ?
C’est LE bar de la ville, ou plutôt la distillerie de la plus australes du Chili. Ici pas question de bière ou de vin, le coeur du sujet c’est le gin (et le whisky mais quand on y est allé ils étaient en rupture de stock). Bienvenue au Last Hope Distillery !
Avant tout, le bar ouvre à 20h. Soyez là, à 20h. Le salon est très intimiste, c’est vite complet. L’accueil est chaleureux, Antonio nous présente les produits fabriqués à la distillerie et nous offre une petite dégustation.
On enchaine ensuite avec plusieurs cocktails et un plateau de fromage. De super produits, des cocktails délicieux. On a été ravis !
Le ratio fromage/accompagnement est un peu trop en faveur de l’accompagnement non ? Et il n’y avait qu’une seule sorte de fromage sur le plateau ?