Non, il n’y a ni beug ni oubli. Le 7e jour, on est allé à Capesterre-Belle-Eau, la journée a fortement ressemblé à celle que j’ai vécu quelques mois auparavant. Peu d’intérêt pour le blog de raconter la même chose, j’ai toutefois mis à jour l’article avec de nouvelles photos.
Donc, 8ème jour et on est revenu du Sud Basse-Terre, direction Sainte-Rose. Au programme : la plage des Amandiers, du madras, le musée du Rhum et Sofaya. Bon en soit, une riche journée et un article court puisque j’ai déjà parlé sur le blog d’une bonne partie des lieux visités, et que la fabrication du rhum n’a désormais plus de secret pour personne ici.
Ma maman attendait cette plage depuis longtemps : un ciel bleu, du sable blanc, une mer turquoise et des cocotiers, bon elle fera avec un sable rosé et des amandiers, mais c’est vrai que c’est une plage carte postale ! Par contre, beaucoup de houle ce qui rend la baignade un peu dangereuse.
C’est déjà l’heure du repas, le Boukané n’étant pas ouvert on se rend chez Didier, restaurant très typique. On a choisit un planteur, ou un jus de goyave, un poulet colombo et des bananes flambées accompagnées d’une boule de glace coco (qu’il faudra imaginer, car j’ai oublié la photo).
On enchaîne avec le musée du Rhum. Celui-ci est lié à la distillerie Reimonenq. Contrairement aux autres visites à Bologne et à Longueteau, ici on ne visite pas la distillerie, dans le même genre que l’Habitation Clément en Martinique mais à une taille plus raisonnable ce qui rend la visite bien plus digeste.
Il semble contrairement aux autres distilleries de Guadeloupe, Reimonenq ne distille pas dans une colonne mais dans un alambic ou dans un système de double colonne.
La suite de la visite se poursuit sur la collection personnelle du propriétaire de la distillerie, la famille Reimonenq.
Avant d’aller à Sofaya, on se rend dans un atelier de couture de Madras. Ma maman craque pour un haut et moi pour un sac de plage.
La dernière journée est la désormais traditionnelle baignade à la plage du Soufleur à Port-Louis. Et tout comme pour Capesterre-Belle-Eau, j’ai préféré complété l’article avec de nouvelles photos.